En décembre 2020, une étude a été menée par le grand réseau social Snapchat sur l’amour de ses utilisateurs pour le cinéma. Selon les résultats obtenus, la pandémie a boosté l’intérêt des salles obscures chez les plus jeunes.
Ce que révèlent les recherches de Snapchat
Les Snapchatteurs ont déclaré être plus désireux de se rendre dans les salles obscures qu’avant la pandémie du coronavirus. 81% ont affirmé avoir déjà prévu de retourner dans les cinémas autant ou plus souvent qu’avant l’avènement de la crise sanitaire. Avant cette période sombre, ils étaient 74% d’utilisateurs de Snapchat à se considérer comme des « cinéphiles actifs ».
Le cinéma a le plus manqué aux Américains
Parmi les activités interdites durant la pandémie de la Covid-19, il semblerait que ce sont les salles obscures qui ont le plus manqué aux Américains. Dans une liste de trois choix proposée lors de l’étude de Snapchat, ces derniers ont classé « aller au cinéma » en tête des activités qu’ils avaient le plus hâte de reprendre une fois les cinémas rouverts. Aux États-Unis d’ailleurs, la réouverture se fait petit à petit, selon les États.
À la seconde et troisième place de ce classement, on retrouve « Passer du temps dehors » et « Aller dans un bar/restaurant ». L’étude de l’appli Snapchat a fait ressortir que même si la pandémie a accéléré le passage au divertissement numérique, « les Snapchatteurs sont restés des fans avides et engagés du cinéma ».
Snapchat serait une bonne plateforme pour promouvoir des films
Selon une étude NRG baptisée « Future of Film », les utilisateurs de Snapchat sont 1,7 fois plus susceptibles d’aller regarder un film lors de son premier week-end d’exploitation comparé à ceux qui n’utilisent pas le célèbre réseau social professionnel. Pour les annonceurs de studio, la plateforme aux millions d’utilisateurs du monde entier représente une opportunité unique d’atteindre un public de cinéphiles de grande valeur avec du contenu cinématographique sur l’application mobile Snapchat. Les Snapchatteurs sont 63% à avoir entendu parler d’un film des semaines avant d’aller le voir.
Avec l’ETX Studio/AFP